Ajouté le 28/08/2018
L’EXPATRIE français décide un jour de plier bagages et d’aller à la conquête d’un autre pays.
Toutefois, même s’il quitte la France pour des raisons professionnelles la plupart du temps, il souhaite investir dans son pays natal.
L’EXPATRIE a un emploi fixe. Trois types de contrats existent.
Première option : il est détaché. C’est un contrat français avec une mission à l’étranger. Deuxième option : il a un contrat expatrié, il a été recruté pour travailler par une société à l’étranger. Et troisième option, la plus répandue : il un contrat local, recruté par une entreprise étrangère sans lien avec la France, il travaille dans son nouveau pays de résidence. Certaines banques évaluent leur risque en fonction du type de contrat et de l’employeur, multinationale ou PME moins connue. Plus votre employeur est connu, plus les portes seront grandes ouvertes.
L’EXPATRIE a un apport. On s’expatrie souvent pour un meilleur revenu ce qui permet de préparer son projet.
On épargne, que ce soit dans son ancienne banque française où l’on n’a conservé un compte ou sur son compte dans son pays d’adoption. Avoir un apport est primordial. Le financement des frais de notaire sera impérativement demandé et pouvoir montrer son investissement personnel dans son projet en y injectant un apport l’est tout autant.
Le montant de votre apport permet aussi d’accéder à des propositions de financement qualitative en taux et conditions.
L’EXPATRIE a un projet en France. Il souhaite investir dans sa résidence secondaire ou tout simplement pour faire du locatif en meublé ou non. Il peut s’orienter sur de l’ancien ou du neuf dans les mêmes règles que ses compatriotes.
Devenir propriétaire d’un bien à l’étranger est possible, de la même façon que pour un résident français, la première condition est de pouvoir apporter en garantie un bien propre qui soit libre de charge (pas d’encours de crédit) ou un placement à prendre en nantissement, avec une valeur équivalente ou supérieure au bien désiré.
L’EXPATRIE a des contreparties à proposer aux banques. Evidemment, être non-résidents ou expatriés, rendent les établissements bancaires beaucoup plus frileux et pointilleux, beaucoup moins ouverts. Il est nécessaire de pouvoir proposer à la banque partenaire de quoi la rendre plus favorable à notre projet : de l’épargne, des flux, un loyer, une assurance locative. Dans une bonne équipe, c’est toujours GAGNANT-GAGNANT.
L’EXPATRIE est loin. Se déplacer en direct dans les banques, impossible ! Les contacter, compliqué ! Avec d’autres fuseaux horaires, des lieux géographiques différents, la démarche est assez contraignante, voire parfois impossible.
C’est pour cela que l’EXPATRIE doit souvent faire appel à un conseiller en financement qui, lui, est spécialisé dans ce type de profil et de projet. Doté d'un carnet d'adresses diversifiées et d'une expérience solide, il est la personne idéale pour accompagner l'EXPATRIE dans son projet. En effet, ce dernier a besoin d'un réel point de repère au niveau local, un partenaire de confiance, qui saura être son allié dans sa recherche de financement.
Dites-moi, et vous, allez-vous faire mentir l’adage « loin des yeux, loin du cœur » ?